ENQUÊTE - La police britannique enquête sur les éventuels meurtres de trois enfants, âgés entre 7 et 16 ans, perpétrés entre le milieu des années 70 et le milieu des années 80. Un témoin accuse un réseau pédophile et met en cause des personnalités politiques.
Une victime présumée d'abus sexuels, présentée sous le prénom de Nick, a accusé des députés et d'autres personnalités de premier plan.Une victime présumée d'abus sexuels, présentée sous le prénom de Nick, a accusé des députés et d'autres personnalités de premier plan. Photo : AFP
Leurs témoignages sont "crédibles et vrais". Scotland Yard a annoncé jeudi avoir ouvert une enquête à la suite d'accusations de victimes d'un réseau de pédophiles impliquant des responsables politiques et des institutions publiques, dans les années 1980-1990. La police a également indiqué enquêter sur le possible meurtre de trois petits garçons par ce réseau, dont la révélation de l'existence il y a quelques mois a multiplié les scandales outre-Manche.
Une victime présumée d'abus sexuels, présentée sous le prénom de Nick, a accusé des députés et d'autres personnalités de premier plan d'être liés au meurtre de trois enfants, âgés de 7 à 16 ans, perpétré entre le milieu des années 1970 et le milieu des années 1980. Selon son témoignage, l'un de ces enfants aurait été renversé par une voiture conduite par l'une de ces personnalités.
Abus dans des bases militaires
"Nous examinons les dossiers des personnes disparues à cette époque", a déclaré Kenny McDonald, l'officier de police qui supervise l'enquête, précisant que "pour l'heure, nous n'avons pas retrouvé de corps". Dans "un récit déchirant", Nick a raconté aux enquêteurs comment lui et plusieurs autres garçons étaient conduits à différentes adresses de Londres et de sa périphérie, y compris dans des bases militaires, où des groupes d'homme abusaient d'eux sexuellement.
Nick a également affirmé à la police avoir été violé entre 7 et 16 ans dans un appartement cossu du quartier de Pimlico (sud-est de Londres), où résident nombre de politiciens. La police a appelé d'autres enfants, aujourd'hui adultes, ayant été victimes de ces sévices au même endroit à se faire connaître. Dans le même temps, la police du Sussex enquête sur la disparition et le meurtre d'un petit garçon de 8 ans, Vishal Mehotra, en 1981.
Des députés membres d'un réseau pédophile
L'été dernier, des révélations faites par les médias et confirmées par les ministères concernés, ont fait état de 114 dossiers relatifs à des accusations de sévices sexuels infligés à des enfants entre 1979 et 1999 qui avaient disparu. L'un de ces dossiers porte, selon la presse, sur l'implication de députés et d'autres personnalités politiques dans un réseau de pédophilie.
Cette affaire fait suite au scandale retentissant de l'affaire Savile, du nom d'un animateur de la BBC mort en 2011, qui est aujourd'hui considéré par Scotland Yard comme "l'un des pires criminels sexuels de l'histoire du pays". Le premier ministre britannique, David Cameron, a promis en juillet "de faire toute la lumière" et d'"explorer toutes les pistes pour découvrir la vérité sur ce qui s'est passé."
Source : http://www.metronews.fr/info/pedophilie-le-scandale-qui-eclabousse-le-parlement-britannique/mngg!gUcHAZt4EXpo/
vendredi 19 décembre 2014
mercredi 17 décembre 2014
Angleterre : Les scouts britanniques touchés par un scandale de pédophilie.
De jeunes scouts britanniques, en 2007. (photo d'illustration) - © Leon Neal - AFP |
Nouveau scandale pédophile outre-Manche. Après l'ex-présentateur de la BBC Jimmy Savile, c'est au tour de la plus importante association de scouts britannique d'être frappée par des cas d'abus sexuels sur mineurs. Après des révélations publiées mercredi, l'Association des scouts s'est fendue d'une lettre d'excuses officielle alors que de nouveaux cas semblaient émerger jeudi.
"Nous présentons nos excuses à tous ceux qui ont été agressés au temps où ils étaient scouts", a annoncé l'Association des scouts britanniques dans un communiqué mercredi soir, répondant à la publication d'une enquête de la BBC plus tôt dans la journée.
Plus de 500.000 livres de dédommagement déjà versées
Celle-ci a révélé que 56 personnes avaient sollicité des cabinets d'avocats afin d'engager des poursuites contre l'association pour des faits remontant à plusieurs décennies. La publicité faite autour des scandales de pédophilie dans le monde du show-biz et d'autres institutions comme l'Eglise auraient encouragé les victimes à briser le silence.
De son côté, l'Association des scouts conteste les chiffres de la BBC en évoquant 36 plaintes depuis octobre 2012 (sur 48 depuis la naissance du mouvement en 1907), mais reconnaît avoir versé déjà plus de 500.000 livres de dédommagement aux victimes, soit plus de 630.000 euros.
"La partie émergée de l'iceberg"
David McClenaghan, qui représente légalement plusieurs plaignants, a souligné que les deux chiffres ne représentaient de toute façon que "la partie émergée de l'iceberg" et que le nombre de victimes dépasserait largement 50. L'avocat a ajouté jeudi matin qu'il avait recueilli une trentaine de témoignages supplémentaires depuis les révélations de la BBC la veille.
Selon lui, l'Association des scouts ne s'est excusée que parce qu'elle était "sous intense pression des médias". Ces excuses "ne font que servir leurs intérêts du moment et n'ont rien d'une vraie excuse individuelle à chaque victime", a-t-il dit.
Des agressions commises par des chefs scouts
La BBC évoque en particulier deux cas d'agressions sexuelles commis par deux chefs scouts, le premier dans les années 1960 et 1970, le deuxième dans les années 1980. "J'en étais malade et dégoûté. Je voulais que tout cela s'arrête mais je ne savais pas comment y mettre un terme", a témoigné l'une de ces deux victimes auprès de la BBC, qui a reçu 45.000 livres (près de 57.000 euros) de compensation en 2011 de la part de l'association. Dans les deux affaires, les auteurs n'ont pas été signalés à la police par l'association, qui était pourtant au courant des faits.
"Nous regrettons profondément ces manquements. C'était une réaction inappropriée et inacceptable face à une telle situation", a indiqué l'association, évoquant des "incidents extrêmement rares". L'Association des scouts britanniques, qui compte 550.000 membres dont 100.000 bénévoles majeurs, assure que cela ne pourrait se reproduire aujourd'hui.
Écrit par A.S. avec AFP
Source : http://www.bfmtv.com/international/les-scouts-britanniques-touches-par-un-scandale-de-pedophilie-852183.html
USA : Le pasteur de «Sept à la maison» avoue ses crimes.
Dans un communiqué publié par le magazine américain People, l'acteur de la série «Sept à la maison» confirme les accusations de pédophilie à son encontre et reconnaît trois victimes, commis entre 1973 et 1994.
Soupçonné de pédophilie, Stephen Collins confirme publiquement les accusations dont il a été la cible. «Il y a 40 ans, j'ai fait quelque chose de très mal que je regrette profondément», écrit l'acteur qui incarnait le révérend Camden dans la série «Sept à la maison».
Dans ce communiqué publié par People mercredi, il déclare : «J'ai tout fait pour me racheter depuis.»
L'homme reconnaît ainsi des abus sexuels sur trois mineurs, commis entre 1973 et 1994. Il assure «ne pas avoir eu de pulsions comme celles-ci» depuis 20 ans.
C'est la première fois que Stephen Collins reconnaît publiquement ses actes, depuis la révélation le 7 octobre de bandes sonores accablantes, enregistrées à son insu par son épouse en 2012, et dans lesquelles il passait aux aveux. Durant l'enregistrement effectué à l'occasion d'une thérapie de couple, l'acteur américain divulguait les noms de ses victimes. Parmi elles, une jeune fille âgée à l'époque de 11 ans, et qui ne serait autre que la sœur de sa première femme, Marjorie Weinman. « Il y a un moment de contact où j'ai mis sa main sur mon pénis », déclare Stephen Collins.
Collins déclare qu'il avait formulé des excuses à l'une de ses trois victimes, il y a quinze ans. Il n'en a pas fait de même avec les deux autres «pour ne pas ouvrir d'anciennes blessures».
Révélé en 1996 par la série «Sept à la maison», Stephen Collins avait par la suite été banni de la Screen Actors Guild, le syndicat d'acteurs le plus puissant du cinéma américain. Exclu du tournage de «Ted 2», coupé au montage de la quatrième saison de «Scandal» et viré de son agence artistique, l'acteur américain, devenu un paria d'Hollywood, ne sera pas poursuivi pour ses actes de pédophilie, car les faits sont prescrits.
Source : http://www.leparisien.fr/laparisienne/actu-people/telerealite/pedophilie-le-pasteur-de-sept-a-la-maison-avoue-ses-crimes-17-12-2014-4381599.php
Soupçonné de pédophilie, Stephen Collins confirme publiquement les accusations dont il a été la cible. «Il y a 40 ans, j'ai fait quelque chose de très mal que je regrette profondément», écrit l'acteur qui incarnait le révérend Camden dans la série «Sept à la maison».
Dans ce communiqué publié par People mercredi, il déclare : «J'ai tout fait pour me racheter depuis.»
L'homme reconnaît ainsi des abus sexuels sur trois mineurs, commis entre 1973 et 1994. Il assure «ne pas avoir eu de pulsions comme celles-ci» depuis 20 ans.
C'est la première fois que Stephen Collins reconnaît publiquement ses actes, depuis la révélation le 7 octobre de bandes sonores accablantes, enregistrées à son insu par son épouse en 2012, et dans lesquelles il passait aux aveux. Durant l'enregistrement effectué à l'occasion d'une thérapie de couple, l'acteur américain divulguait les noms de ses victimes. Parmi elles, une jeune fille âgée à l'époque de 11 ans, et qui ne serait autre que la sœur de sa première femme, Marjorie Weinman. « Il y a un moment de contact où j'ai mis sa main sur mon pénis », déclare Stephen Collins.
Collins déclare qu'il avait formulé des excuses à l'une de ses trois victimes, il y a quinze ans. Il n'en a pas fait de même avec les deux autres «pour ne pas ouvrir d'anciennes blessures».
Révélé en 1996 par la série «Sept à la maison», Stephen Collins avait par la suite été banni de la Screen Actors Guild, le syndicat d'acteurs le plus puissant du cinéma américain. Exclu du tournage de «Ted 2», coupé au montage de la quatrième saison de «Scandal» et viré de son agence artistique, l'acteur américain, devenu un paria d'Hollywood, ne sera pas poursuivi pour ses actes de pédophilie, car les faits sont prescrits.
Source : http://www.leparisien.fr/laparisienne/actu-people/telerealite/pedophilie-le-pasteur-de-sept-a-la-maison-avoue-ses-crimes-17-12-2014-4381599.php
mardi 16 décembre 2014
France : Amidlisa : Amidlisa tribunal populaire.
Les amis de Lisa CHERCHENT volontaires pour déposer un avis de manif en préfecture du 13 il faut 2 responsables association PLUS 3 signataires de ce département (un simple citoyen suffit)
pour le 02 février 2015 à 12h devant la cour d’appel de Aix en Provence
comme nous avons fait pour le 20 février 2014 à Draguignan
cette formalité nous autorise à porter des pancartes, banderoles, et crier des slogans !
c’est indispensable pour hurler notre mécontentement, indignation, notre colère
SI la maman et le grand père des enfants VILOLés étaient condamnés comme le demande la procureur à l’audience du 08 décembre 2014
la mobilisation grossi depuis le 9 janvier, le 20 février et le 8 décembre 2014 MAIS ne suffit pas encore pour faire reculer les magistrats scélérats au service des pédo criminels
CAR la peine ignoble sur les victimes est maintenue !
DONC il faut être beaucoup plus nombreux! Et médiatiser a FOND !!!
les volontaires merci de téléphoner au 06 07 41 02 77 ou e mail
fpignet@gmail.com
ne vous signalez pas sur fessebook MERCI !
France : Amidlisa tribunal populaire ;
*Fred Pignet 1 er CR bref
Les amis de Lisa vous remercie de votre présence qui
par son nombre, environ 200 personnes à l'audience du 8 décembre
démontre qu'une mobilisation de plus en plus forte s'organise !
En attendant de publier un rapport détaillé de
l'audience d'ores et déjà, on peut noter que l'avocate de la
défense a bien fait son travail en dénonçant avec force et
détermination les aberrations des accusations formulées par le
parquet , rappelant au passage les faits, les témoignages des
enfants, leurs espoirs moultes fois déçus vis à vis des adultes
alors qu'ils ont répétés plusieurs fois devant les professionnels
l'étendue de leurs souffrances ainsi que les violations des
procédures.
Nous notons que ni le président de la cour d'appel,
ni le procureur général n'ont posé de questions pour établir un
débat contradictoire, afin de rechercher la vérité, RIEN.
De la même manière, ils n'ont pas répondu ni aux
questions, ni aux aberrations soulevées par l'avocate dans ce
dossier hallucinant, jamais vu dans sa carrière.
L'audience a commencée par un remplissage de la
salle par des étudiants afin de diminuer le nombre d'opposant anti
pédocriminels se termine, après près de 3 heures d'examen
solitaire des faits par l'avocate, par des applaudissements à son
endroit, la remerciant un peu, d'avoir, ELLE SEULE, considéré les
enfants comme étant monstrueusement victimes de GRAVES violations de
la LOI du TGI de Draguignan et surtout du parquet.
Le compte rendu suit dans quelques jours.
La décision sera rendue le 2 février 2014. nous
contons sur votre présence massive
d'avance MERCI !
Amidlisa tribunal populaire
10 décembre, 12:16 ·
Autre compte rendu de l'audience du 08 12 à Aix qui semble objectif après recoupement
Je cite Pascale Geniès : "...Plus d'une centaine de personnes se pressaient dans la salle des pas perdus alors qu'une quarantaine seulement était entrée. La foule refusant de se disperser ils ont annoncé qu'une dizaine de personnes allait pouvoir rentrer. J'ai eu la chance d'être parmi ceux-là. Le contrôle n'a pas décelé mon Laguiole, et j'ai même réussi à faire rentrer l'iPhone. Ils faisait vraiment la chasse à tout appareil photo !
Une conseillère a fait un
résumé des plaintes et des jugements précédents, elle a ensuite interrogé la mère et le grand-père en ne cessant de leur couper la parole et en les encadrant mais le tout avec une certaine bienveillance.
La procureure de la république, grande perche blonde froide et sans états d'âme a procédé à une litanie portant sur les différentes lettres et plaintes de la mère et du grand-père adressées à diverses personnalités dont Éric de Montgolfier.
La nullissime avocate du plaignant nous a fait un petit numéro présentant le père comme une victime. Cette avocate n'avait fourni aucun travail et elle est dénuée du plus petit talent. Pourquoi se donner du mal puisque le père a toujours eu gain de cause, c'est le cas de le dire.
Est enfin venue la plaidoirie de Maître Malika Oulkheri, avocate de la défense et là on a eu droit à un travail remarquable à la fois technique juridiquement parlant, plein de respect ! Et cependant rien n'a été oublié ni les réseaux ni les crimes horribles que les enfants ont mentionné, ni le déni de justice, ni l'incroyable comportement du parquet de Draguignan. Elle a même parlé du peuple en désignant le public qui attendait justice. Mais tout cela sobrement et avec une incroyable dignité"...
Maximum antietat round 17
Violés et avoir assisté à des meurtres d’enfants dans le cadre d’un réseau pédophile.
Nous ne pouvons pas faire de compte rendu de l’audience avant le jugement, prévu le 2 février.
Le tribunal a décidé de prendre son temps avant de rendre sa décision, ce qui est compréhensible vu les nombreux points techniques soulevés lors des débats.
La famille a été très bien défendue, et à l’issue de sa plaidoirie de près de deux heures, l’avocate a requis la relaxe.
La partie civile, le père des enfants, était également présent au tribunal.
Mais surtout, de nombreuses personnes sont venues soutenir la famille, qui a vraiment apprécié cette présence.
Hélas, tout le monde n’a pas pu entrer dans la salle d’audience.
On ne peut préciser que le fond de l’affaire, la question de l’existence ou non des viols, n’a encore jamais été instruite car les plaintes ont été classées sans suite.
Il est donc impossible d’affirmer que ces viols sont imaginaires.
Depuis, les enfants ont été confiés à leur père, qui réclame maintenant l’autorité parentale exclusive.
Nous vous tiendrons informés du contenu de l’audience et du jugement dès le 2 février.
Merci a tous pour votre mobilation, nous 3 fois plus qu'en début d'année.
Affaire du Var: jugement le 2 février 2015
Le procès en appel de Sophie et Jack, accusés de dénonciations calomnieuses dans le cadre de l'affaire Amidlisa, s'est déroulé lundi à Aix-en-Provence. Tout d'abord, il faut souligner le grand soutien qui a été apporté à la famille, un soutien très apprécié. Merci à ceux qui étaient là, après tout la justice est rendue au nom du peuple français, et il devait y avoir une bonne centaine de personnes présentes devant le tribunal.
On ne peut pas encore développer le contenu de l'audience car le jugement ne sera rendu que le 2 février, et il serait dommage de compromettre l'issue de cette longue et laborieuse procédure.
L'avocate de la famille, Maître Malika Ouarti, s'est démenée pour soulever de nombreux points techniques, qu'apparemment le tribunal a décidé de prendre le temps d'examiner. Elle a demandé la relaxe, et a expliqué qu'en droit, elle devrait être obtenue. Si Sophie et Jack sont condamnés, il est prévu de se pourvoir en cassation.
Le parquet a réclamé la même peine qu'en première instance, à savoir 12.000 euros à verser à la partie civile, le père des enfants, et 6 mois de prison avec sursis.
On doit noter que la salle d'audience a été loin de pouvoir contenir tous ceux qui sont venus à ce procès.
Le père des enfants était présent, bien entouré par les policiers, comme en première instance.
Je dois dire malgré tout qu'il est dommage que certaines personnes aient vivement réagi à plusieurs reprises durant l'audience. Je sais qu'il est difficile de rester calme quand on entend certaines choses, et que la plaidoirie de Malika ouarti a été percutante, mais cela ne sert pas les accusés, bien au contraire.
En tout cas, la famille a été très heureuse de voir que beaucoup de monde s'était mobilisé ce lundi, dans et devant le tribunal.
Source : http://dondevamos.canalblog.com/archives/2014/12/09/31114920.html
pour le 02 février 2015 à 12h devant la cour d’appel de Aix en Provence
comme nous avons fait pour le 20 février 2014 à Draguignan
cette formalité nous autorise à porter des pancartes, banderoles, et crier des slogans !
c’est indispensable pour hurler notre mécontentement, indignation, notre colère
SI la maman et le grand père des enfants VILOLés étaient condamnés comme le demande la procureur à l’audience du 08 décembre 2014
la mobilisation grossi depuis le 9 janvier, le 20 février et le 8 décembre 2014 MAIS ne suffit pas encore pour faire reculer les magistrats scélérats au service des pédo criminels
CAR la peine ignoble sur les victimes est maintenue !
DONC il faut être beaucoup plus nombreux! Et médiatiser a FOND !!!
les volontaires merci de téléphoner au 06 07 41 02 77 ou e mail
fpignet@gmail.com
ne vous signalez pas sur fessebook MERCI !
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France : Amidlisa tribunal populaire ;
*Fred Pignet 1 er CR bref
Les amis de Lisa vous remercie de votre présence qui
par son nombre, environ 200 personnes à l'audience du 8 décembre
démontre qu'une mobilisation de plus en plus forte s'organise !
En attendant de publier un rapport détaillé de
l'audience d'ores et déjà, on peut noter que l'avocate de la
défense a bien fait son travail en dénonçant avec force et
détermination les aberrations des accusations formulées par le
parquet , rappelant au passage les faits, les témoignages des
enfants, leurs espoirs moultes fois déçus vis à vis des adultes
alors qu'ils ont répétés plusieurs fois devant les professionnels
l'étendue de leurs souffrances ainsi que les violations des
procédures.
Nous notons que ni le président de la cour d'appel,
ni le procureur général n'ont posé de questions pour établir un
débat contradictoire, afin de rechercher la vérité, RIEN.
De la même manière, ils n'ont pas répondu ni aux
questions, ni aux aberrations soulevées par l'avocate dans ce
dossier hallucinant, jamais vu dans sa carrière.
L'audience a commencée par un remplissage de la
salle par des étudiants afin de diminuer le nombre d'opposant anti
pédocriminels se termine, après près de 3 heures d'examen
solitaire des faits par l'avocate, par des applaudissements à son
endroit, la remerciant un peu, d'avoir, ELLE SEULE, considéré les
enfants comme étant monstrueusement victimes de GRAVES violations de
la LOI du TGI de Draguignan et surtout du parquet.
Le compte rendu suit dans quelques jours.
La décision sera rendue le 2 février 2014. nous
contons sur votre présence massive
d'avance MERCI !
Amidlisa tribunal populaire
10 décembre, 12:16 ·
Autre compte rendu de l'audience du 08 12 à Aix qui semble objectif après recoupement
Je cite Pascale Geniès : "...Plus d'une centaine de personnes se pressaient dans la salle des pas perdus alors qu'une quarantaine seulement était entrée. La foule refusant de se disperser ils ont annoncé qu'une dizaine de personnes allait pouvoir rentrer. J'ai eu la chance d'être parmi ceux-là. Le contrôle n'a pas décelé mon Laguiole, et j'ai même réussi à faire rentrer l'iPhone. Ils faisait vraiment la chasse à tout appareil photo !
Une conseillère a fait un
résumé des plaintes et des jugements précédents, elle a ensuite interrogé la mère et le grand-père en ne cessant de leur couper la parole et en les encadrant mais le tout avec une certaine bienveillance.
La procureure de la république, grande perche blonde froide et sans états d'âme a procédé à une litanie portant sur les différentes lettres et plaintes de la mère et du grand-père adressées à diverses personnalités dont Éric de Montgolfier.
La nullissime avocate du plaignant nous a fait un petit numéro présentant le père comme une victime. Cette avocate n'avait fourni aucun travail et elle est dénuée du plus petit talent. Pourquoi se donner du mal puisque le père a toujours eu gain de cause, c'est le cas de le dire.
Est enfin venue la plaidoirie de Maître Malika Oulkheri, avocate de la défense et là on a eu droit à un travail remarquable à la fois technique juridiquement parlant, plein de respect ! Et cependant rien n'a été oublié ni les réseaux ni les crimes horribles que les enfants ont mentionné, ni le déni de justice, ni l'incroyable comportement du parquet de Draguignan. Elle a même parlé du peuple en désignant le public qui attendait justice. Mais tout cela sobrement et avec une incroyable dignité"...
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Maximum antietat round 17
Violés et avoir assisté à des meurtres d’enfants dans le cadre d’un réseau pédophile.
Nous ne pouvons pas faire de compte rendu de l’audience avant le jugement, prévu le 2 février.
Le tribunal a décidé de prendre son temps avant de rendre sa décision, ce qui est compréhensible vu les nombreux points techniques soulevés lors des débats.
La famille a été très bien défendue, et à l’issue de sa plaidoirie de près de deux heures, l’avocate a requis la relaxe.
La partie civile, le père des enfants, était également présent au tribunal.
Mais surtout, de nombreuses personnes sont venues soutenir la famille, qui a vraiment apprécié cette présence.
Hélas, tout le monde n’a pas pu entrer dans la salle d’audience.
On ne peut préciser que le fond de l’affaire, la question de l’existence ou non des viols, n’a encore jamais été instruite car les plaintes ont été classées sans suite.
Il est donc impossible d’affirmer que ces viols sont imaginaires.
Depuis, les enfants ont été confiés à leur père, qui réclame maintenant l’autorité parentale exclusive.
Nous vous tiendrons informés du contenu de l’audience et du jugement dès le 2 février.
Merci a tous pour votre mobilation, nous 3 fois plus qu'en début d'année.
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DondeVamos
Affaire du Var: jugement le 2 février 2015
Le procès en appel de Sophie et Jack, accusés de dénonciations calomnieuses dans le cadre de l'affaire Amidlisa, s'est déroulé lundi à Aix-en-Provence. Tout d'abord, il faut souligner le grand soutien qui a été apporté à la famille, un soutien très apprécié. Merci à ceux qui étaient là, après tout la justice est rendue au nom du peuple français, et il devait y avoir une bonne centaine de personnes présentes devant le tribunal.
On ne peut pas encore développer le contenu de l'audience car le jugement ne sera rendu que le 2 février, et il serait dommage de compromettre l'issue de cette longue et laborieuse procédure.
L'avocate de la famille, Maître Malika Ouarti, s'est démenée pour soulever de nombreux points techniques, qu'apparemment le tribunal a décidé de prendre le temps d'examiner. Elle a demandé la relaxe, et a expliqué qu'en droit, elle devrait être obtenue. Si Sophie et Jack sont condamnés, il est prévu de se pourvoir en cassation.
Le parquet a réclamé la même peine qu'en première instance, à savoir 12.000 euros à verser à la partie civile, le père des enfants, et 6 mois de prison avec sursis.
On doit noter que la salle d'audience a été loin de pouvoir contenir tous ceux qui sont venus à ce procès.
Le père des enfants était présent, bien entouré par les policiers, comme en première instance.
Je dois dire malgré tout qu'il est dommage que certaines personnes aient vivement réagi à plusieurs reprises durant l'audience. Je sais qu'il est difficile de rester calme quand on entend certaines choses, et que la plaidoirie de Malika ouarti a été percutante, mais cela ne sert pas les accusés, bien au contraire.
En tout cas, la famille a été très heureuse de voir que beaucoup de monde s'était mobilisé ce lundi, dans et devant le tribunal.
Source : http://dondevamos.canalblog.com/archives/2014/12/09/31114920.html
mercredi 10 décembre 2014
Europe : Un enfant migrant sur deux qui arrive en Europe disparaît dans les 48h.
En 2013, par exemple, sur 24 000 mineurs entrés sur le sol européen, environ 12 000 ont demandé l'asile mais 12 000 autres n'ont introduit aucune demande. Ces derniers n'ont donc pas laissé de trace dans les documents administratifs. Ce qui, on l'imagine bien, les rend terriblement vulnérables.
Un constat alarmant, qui est notamment dû à un problème de législation, explique la porte-parole de Missing Children.
"L'application des règlements de Dublin (actuellement en vigueur en Europe) ne résout pas les problèmes. Ce règlement prévoit que les personnes qui arrivent dans un pays de l'Union européenne et qui ont auparavant été accueillis dans un autre pays, seront renvoyés dans ce premier pays d'accueil", explique Maud de Boer.
"Ce qui veut dire que les enfants ont tout intérêt à ne pas se faire enregistrer dans les centres d'accueil, parce que si leur projet, fût-il illusoire, est de se rendre dans un pays du nord de l'Europe, lorsque les autorités seront confrontées avec ces enfants et constateront qu'ils ont été auparavant accueillis dans un autre pays de l'Union européenne, ils risquent de les y renvoyer", poursuit la porte-parole de la fédération européenne pour les enfants disparus.
"Il faut arrêter avec ce règlement. Ce qu'il faut faire, c'est tenir compte de l'intérêt primordial de l'enfant. Et celui-ci n'est pas de se faire renvoyer là où ils sont arrivés".
Écoutez les explications de Anne-Sophie Bruyndonckx...
lundi 8 décembre 2014
France : GPA : une proposition de loi pour punir les parents qui ont recours à une mère porteuse.
Rejetée en commission des lois, la proposition de loi du député UMP Jean Leonetti, qui vise à punir les «parents d'intention» qui ont recours à une mère porteuse à l'étranger, sera présentée ce jeudi dans l'hémicycle. Les députés UMP veulent que la majorité clarifie son discours sur la GPA.
Les «parents d'intention» qui ont recours à une mère porteuse pour donner naissance à un enfant doivent-ils être sanctionnés? À l'heure où plusieurs décisions tendent à favoriser la reconnaissance des enfants nés par GPA (gestation pour autrui) en France, une proposition de loi du député UMP Jean Leonetti vise à durcir le dispositif législatif de lutte contre cette pratique. Par rebond, ce texte invite aussi une majorité accusée d'avoir des positions contradictoires sur la GPA à clarifier son discours. Las, la proposition a été rejetée en commission des loi le 26 novembre. Elle sera néanmoins présentée ce jeudi 4 décembre dans l'hémicycle.
Le texte a été cosigné par quelques 150 parlementaires UMP et UDI inquiets de voir tomber les remparts de l'interdiction de la GPA en France après sa condamnation par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) pour son refus d'inscrire à l'état civil des enfants nés de GPA à l'étranger. Ils redoutent également les effets de la circulaire Taubira, rédigée afin de faciliter la délivrance de certificats de nationalité française aux enfants nés de mère porteuse à l'étranger. Ce texte, objet de plusieurs recours, devrait vraisemblablement être validé le 12 décembre par le conseil d'État.
Punir d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende
Dans ce «contexte juridique ambigu», le député-maire d'Antibes propose de renforcer les sanctions contre les agences qui organisent «ce trafic d'être humain» en doublant les peines actuellement prévues par la loi. Il suggère aussi de punir les personnes qui ont recours à cette pratique illicite d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende. Ceux qui en sont au stade du démarchage auprès d'agences organisant la GPA pourraient, eux, écoper d'une peine de six mois de prison et de 7500 euros d'amende. Enfin, le parlementaire voudrait rendre la loi pénale française applicable aux délits commis à l'étranger par des ressortissants français.
«Un arsenal juridique propre à dissuader nos concitoyens d'avoir recours à une pratique qui est la négation même du respect de la dignité inaliénable de la personne: pas plus que les corps ne sont à louer, les enfants ne sont pas à vendre», a défendu Jean Leonetti en commission des lois.
Son avis n'a pourtant été suivi par aucun député socialiste malgré la montée d'un front des anti-GPA de gauche, signataires d'une tribune très virulente contre le recours aux mères porteuses, cet été, dans le journal Libération. Si le groupe socialiste vote contre ce texte, «il est pour autant, dans sa très grande majorité, favorable au maintien de l'interdiction de la GPA et considère comme nulles les conventions qui l'autorisent. Nous considérons également qu'il faut pénaliser les agences qui font office d'intermédiaires», a défendu le député PS Erwann Binet qui fut rapporteur du projet de loi sur le mariage pour tous. «L'arrêt de la CEDH, pris dans l'intérêt supérieur de l'enfant né d'une GPA, s'impose à nous. Il est probable même qu'il fera évoluer la jurisprudence de la Cour de cassation dans des affaires aujourd'hui pendantes», a-t-il également estimé. «Cibler les parents en allant jusqu'à vouloir les mettre en prison est une erreur évidente: ce n'est ni efficace ni opportun», a pour sa part rétorqué la députée PS Marie-Anne Chapdelaine, dénonçant «une fausse route» sur le plan juridique comme sur le plan politique.
Après les déclarations fortes du premier ministre dans le journal La Croix contre «une pratique intolérable de commercialisation des êtres humains et de marchandisation du corps des femmes» et son engagement à promouvoir la lutte contre la GPA, notamment à l'international, le gouvernement s'est fait silencieux. Il semble peu probable qu'il souhaite ouvrir une nouvelle fois dans l'hémicycle ce débat mis en sourdine…
Source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/12/04/01016-20141204ARTFIG00017-gpa-une-proposition-de-loi-pour-punir-les-parents-qui-ont-recours-a-une-mere-porteuse.php
2012 : Olivier Mazerolle confronte les points de vue de Marine Le Pen, présidente du Front national, et de Jean Leonetti, ministre chargé des Affaires européennes, notamment sur la souveraineté de la France et sur la crise de la dette.
Les «parents d'intention» qui ont recours à une mère porteuse pour donner naissance à un enfant doivent-ils être sanctionnés? À l'heure où plusieurs décisions tendent à favoriser la reconnaissance des enfants nés par GPA (gestation pour autrui) en France, une proposition de loi du député UMP Jean Leonetti vise à durcir le dispositif législatif de lutte contre cette pratique. Par rebond, ce texte invite aussi une majorité accusée d'avoir des positions contradictoires sur la GPA à clarifier son discours. Las, la proposition a été rejetée en commission des loi le 26 novembre. Elle sera néanmoins présentée ce jeudi 4 décembre dans l'hémicycle.
Le texte a été cosigné par quelques 150 parlementaires UMP et UDI inquiets de voir tomber les remparts de l'interdiction de la GPA en France après sa condamnation par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) pour son refus d'inscrire à l'état civil des enfants nés de GPA à l'étranger. Ils redoutent également les effets de la circulaire Taubira, rédigée afin de faciliter la délivrance de certificats de nationalité française aux enfants nés de mère porteuse à l'étranger. Ce texte, objet de plusieurs recours, devrait vraisemblablement être validé le 12 décembre par le conseil d'État.
Punir d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende
Dans ce «contexte juridique ambigu», le député-maire d'Antibes propose de renforcer les sanctions contre les agences qui organisent «ce trafic d'être humain» en doublant les peines actuellement prévues par la loi. Il suggère aussi de punir les personnes qui ont recours à cette pratique illicite d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende. Ceux qui en sont au stade du démarchage auprès d'agences organisant la GPA pourraient, eux, écoper d'une peine de six mois de prison et de 7500 euros d'amende. Enfin, le parlementaire voudrait rendre la loi pénale française applicable aux délits commis à l'étranger par des ressortissants français.
«Un arsenal juridique propre à dissuader nos concitoyens d'avoir recours à une pratique qui est la négation même du respect de la dignité inaliénable de la personne: pas plus que les corps ne sont à louer, les enfants ne sont pas à vendre», a défendu Jean Leonetti en commission des lois.
Son avis n'a pourtant été suivi par aucun député socialiste malgré la montée d'un front des anti-GPA de gauche, signataires d'une tribune très virulente contre le recours aux mères porteuses, cet été, dans le journal Libération. Si le groupe socialiste vote contre ce texte, «il est pour autant, dans sa très grande majorité, favorable au maintien de l'interdiction de la GPA et considère comme nulles les conventions qui l'autorisent. Nous considérons également qu'il faut pénaliser les agences qui font office d'intermédiaires», a défendu le député PS Erwann Binet qui fut rapporteur du projet de loi sur le mariage pour tous. «L'arrêt de la CEDH, pris dans l'intérêt supérieur de l'enfant né d'une GPA, s'impose à nous. Il est probable même qu'il fera évoluer la jurisprudence de la Cour de cassation dans des affaires aujourd'hui pendantes», a-t-il également estimé. «Cibler les parents en allant jusqu'à vouloir les mettre en prison est une erreur évidente: ce n'est ni efficace ni opportun», a pour sa part rétorqué la députée PS Marie-Anne Chapdelaine, dénonçant «une fausse route» sur le plan juridique comme sur le plan politique.
Après les déclarations fortes du premier ministre dans le journal La Croix contre «une pratique intolérable de commercialisation des êtres humains et de marchandisation du corps des femmes» et son engagement à promouvoir la lutte contre la GPA, notamment à l'international, le gouvernement s'est fait silencieux. Il semble peu probable qu'il souhaite ouvrir une nouvelle fois dans l'hémicycle ce débat mis en sourdine…
Source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/12/04/01016-20141204ARTFIG00017-gpa-une-proposition-de-loi-pour-punir-les-parents-qui-ont-recours-a-une-mere-porteuse.php
2012 : Olivier Mazerolle confronte les points de vue de Marine Le Pen, présidente du Front national, et de Jean Leonetti, ministre chargé des Affaires européennes, notamment sur la souveraineté de la France et sur la crise de la dette.
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