Il expose les réseaux pédocriminels Ganumedes, Temse/Madeira et Zandvoort, qui opéraient sous la protection octroyée aux informateurs de la police. Une victime le mène, en 1998, au fichier du réseau Zandvoort, qui a fait apparaître l'exploitation sexuelle d'enfants : 88 539 photos de viols, meurtres et torture d’enfants, y compris de bébés.
Le président du Conseil de l’Europe, alors Wolfgang Schuessel, a officiellement remercié Marcel Vervloesem dans une lettre ouverte, où il soulignait « sa conduite courageuse et exemplaire » qui avait permis de porter la lumière sur « l’odieux trafic » d’exploitation sexuelle d’enfants.
La chambre du conseil de Turnhout a confirmé mardi la détention de Marcel Vervloesem, 59 ans. Le "chasseur de pornographie infantile" autoproclamé, originaire de Morkhoven et domicilié actuellement à Turnhout, se trouve depuis la semaine dernière à nouveau derrière les barreaux. Il est soupçonné d'attouchements avec violence sur un neveu mineur d'âge.
La Justice belge est très actif à ce moment.
Le Werkgroep Morkhoven a des problèmes téléphoniques et des problèmes d'Internet (serveur, ordinateurs, entrée d'Internet).
La distribution de la communiqué de presse du Werkgroep Morkhoven était bloquée.
Le siteweb 'Fondation Princesse de Croÿ' qui donne des bonnes informations sur l'affaire Zandvoort, était complètement blocqué sur l'ordinateur de la princesse (elle ne savait plus de publier).
A cause des campagnes médiatiques contre Marcel Vervloesem pendant 14 ans, elle reçoit des menaçes de pédophiles qui se posent comme 'anti-pédophile'. Le script du livre de Marcel Vervloesem où il décrit sa vie et ses actions avec le Werkgroep Morkhoven, a été saisi par la Justice. Marcel Vervloesem a pendant 4 ans déjà un interdiction de contacter la presse et le Werkgroep Morkhoven dont il est membre de la direction.
Alors, il se ne sait plus se défendre contre toutes ces phantasmes et accusations dans les média.
Sa fille qui est bien au courant et qui raconte une autre histoire autour les nouvelles phantasmes et accusations dans la presse, est comme habitude, pas été contacté par la presse qui aide à étouffer l'affaire pédocriminelle de Zandvoort (90.000 victimes).
Comme son père et le Werkgroep Morkhoven, elle est exclut par les médias belges.
Marcel Vervloesem ne sait pas contacter sa fille pendant déjà 2 jours.
La ministre de la Justice Annemie Turtelboom est au courant.
Mais le Ministre qui prétend de 'lutter la partialité de la magistrature dans le cadre d'un nouveau déontologie', soutient ce procès de média contre Marcel Vervloesem, sa famille et le Werkgroep Morkhoven.
La censure est totale et le ministre de la justice est responsable pour cette nouvelle situation.
Voir aussi:Marcel Vervloesem Juste.
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