mardi 14 février 2012
Zandvoort - Coral Quand le magistrat français se déculotta pour abuser de Nordine.
Zandvoort - Coral Quand le magistrat français se déculotta pour abuser de Nordine.
Le Coral fut fondé en 1977 à Aimargues, un ravissant village du Midi de la France, par Claude Sigala, un éducateur spécialisé et cinéaste, bourdonnant autour de la révolution sexuelle française de mai 68.
La mode était aux écrivains qui publiaient des romans de leurs amours avec "des enfants consentants", dans un langage ampoulé, en rimes, comme si cela pouvait effacer leurs crimes.
Le Coral était un "lieu de vie" où environ 10 adultes s'occupaient de 5 enfants psychotiques et autistes.
Ils appartenaient à un mouvement visant à faire reconnaître le droit à la différance, à la tendresse et à la caresse... de vieux cochons en érection sur des enfants.
Il s'agissait d'un "débat philosophique" et de "liberté sexuelle" d'enfants émotionnellement handicapés, que le Coral estimait faire partie d'une "thérapeutique nouvelle".
Un garçon de onze ans, fut retrouvé mort, la tête noyée dans un seau d'eau en 1979. Son autopsie démontra qu'il avait été sodomisé.
Un jeune majeur fut jugé coupable mais irresponsable du meurtre et du viol et enfermé en psychiatrie.
Trois ans plus tard, en 1982, il était à nouveau au Coral, avec Willy Marceau, un poète et maquereau d'enfants âgé de 21 ans.
Jean-Claude Krief, également âgé de 21 ans, avait passé son enfance en institution en raison de problèmes de santé de ses parents. Il était rentré en contact avec Marceau après avoir lu son recueil de pédo-poésies. Il voulait exposer que l'abus n'était pas un plaisir pour les enfants.
Il comprit avoir à faire à un réseau, quand Marceau lui demanda de développer des photos pépornographiques à partir de diapositives. Marceau le dirigea au Coral, où le mot de passe pour entrer était d'avoir lu le livre "Visiblement, Je Vous Aime" de Claude Sigala.
Jean-Claude Krief avait gardé un très mauvais souvenir de "l'amour visible" qu'il lui avait été imposé à consentir. Il passa l'épreuve du livre et s'infiltra au Coral, en tant qu'éducateur pour les enfants handicapés.
Tout les adultes étaient pédophiles et abusaient tranquillement de ces enfants, assurés de leur silence, dit-il.
Il vit un défilé de l'internationale pédo-socialiste, des ministres en place où à devenir, les dandys de la révolution sexuelle, des journalistes, des médecins, des psychiatres, de directeurs de services sociaux...
Jean-Claude Krief dénonça l'affaire, après avoir découvert une valise pleine de photos pédopornographiques. Il illustrait le dossier de la photo d'un administrateur du Coral: un magistrat français déculotté en train d'abuser de l'infortuné Nordine, âgé de 11 ans et qui ne parlera jamais, s'il est encore en vie. Trois enfants du Coral avaient déclarés aux enquêteurs avoir été sodomisés et l'un des directeurs, Jean-Noël Bardy, reconnaissait avoir eu de ces "activités sexuelles thérapeutiques".
Il a été incarcéré, avec Sigala et Marceau. Le juge Salzman lança 343 mandats à l'encontre de personnes qui se rendaient au Coral, présuma qu'ils assouvissaient leurs perversités sexuelles, plutôt que pour observer des enfants handicapés.
Parmi eux,
les écrivains Matzneff et Schérer du cercle de Tony Duvert, un journaliste du magazine pédophile "Gai Pied".
Trois ans plus tôt, les écrivains avaient témoigné que Jacques Dugué n'avait pas abusé d'enfants, mais qu'ils avaient eu des relations sexuelles consentantes.
Dugué était entre autre, poursuivi pour une photo vendue par le réseau Zandvoort au magazine "Pissing Lolita", d'un jeune garçon dégoulinant
François Mitterrand venait d'être élu le premier président socialiste de la république française. Le dossier était politiquement intenable, au motif du nombre de personnalités socialiste exposées, dont le ministre de la culture qu'il venait de désigner.
Le Capitaine Barril de la gendarmerie avait reçu alors instruction de stopper l'enquête du fait du nombre de personnalités : ministres, magistrats, journalistes, même un rédacteur en chef et un chroniqueur du journal "Le Monde", etc. Le dossier termina dans le garage du supérieur hiérarchique de l'enquêteur principal, avec celui de Kripten, un réseau satanique pédocriminel allié à la Belgique.
Michel Krief, frère de Jean-Claude, sera retrouvé mort.
Tous croiront à un meurtre, excepté la police qui conclura à un suicide. Un faux procès-verbal accolé d'une signature qui ressemblait à celle de Jean-Claude Krief, blâmant l'écrivain Shérer et le Ministre Lang d'abus d'enfants.
Piège ou fausse signature, nul ne le sais mais Krief fut incarcéré pour cela dans la même prison que Sigala. Le témoin principal fut invité à avouer par écrit avoir tout inventé par dépit amoureux pour le fondateur du Coral, avec un style ampoulé et une orthographe qui ne lui appartient pas, suite à trois "tentatives de suicide". Le juge Salzmann ferma l'affaire Coral avec quelques condamnations symboliques, malgré les aveux d'un des directeurs et les cris outrés des philosophes qui réclamaient la libération de la pédophilie, se prétendant victimes de "délit d'opinion".
Jean-Claude Krief, traité de mythomane, s'empressera d'apporter son dossier l'avocat Baduel, qui défendait une victime du réseau Kripten, car le même Willy Marceau inculpé du Coral, était de ceux qui avait prostitué son client. Kripten était allié par ses membres au réseau CRIES implanté dans les locaux de l'UNICEF à Bruxelles, et a Weinstein du réseau Nihoul/Dutroux. Toutefois, Baduel introduira un dossier pour la défense du maquereau qui se disait victime du réseau, pour avoir dénoncé ses concurrents! Les enfants passés par ces réseaux sont dans un tel état qu'il n'y a rien à craindre d'eux.
Comment l'alliance Coral/Zandvoort a été établie
En 1998, l'association belge Werkgroep Morkhoven était sur les traces du réseau Zandvoort depuis dix ans. Les activistes étaient parvenus à mettre main sur leurs archives et les apportaient à la police. Ils enquêtaient sur la photo N°9, qui représente un adulte et un enfant tenant en main le pénis de l'autre. En rendant visite à une association suisse, Marcel Vervloesem, enquêteur principal, découvrait le dossier de Baduel et la photo de celui qui Krief disait être le magistrat.
Le juge Salzmann avait instruit de multiples affaires alliées au réseaux Zandvoort avec une maladresse égale, dont de Jacques Dugué qui avait été condamné à des peines symboliques, jusqu'à ce que trente ans plus tard, il ait récidivé sur les enfants des ses premières victimes. Il reconnaîtra alors être un des approvisionneurs de pornographie d'enfants du réseau Zandvoort.
L'enquête sur Cécile Bloch dont la photo fut retrouvée dans les archives de Zandvoort, fut également menée par Salzman et piétine toujours. En revanche, Marcel Vervloesem, qui emmena le dossier Zandvoort en justice, sera condamné pour avoir entrave à la vie privée de cet enfant assassinée vingt ans plus tôt, suite à une plainte de son père qui l'avait reconnue sur un site hollandais, visant a identifier les victimes!
Dans les archives du réseau Zandvoort, des listes qui ont la particularité de nommer une série de criminels condamnés ou alliés à l'affaire.
Claude Sigala: code 'S-24'. Condamné dans l'affaire CoralWilly Marceau: code '27'. Condamné dans l'affaire Coral. Il sera également inculpé dans l'affaire C.R.I.E.S. avec Philippe Carpentier, ex amant du Pasteur Doucé.Pasteur Doucé: code '*GR', fondateur du réseau "Christ Libérateur". Ex-amant de Phillipe Carpentier du réseau C.R.I.E.S. et de Michel Caignet du réseau Toro Bravo, le pasteur était en charge des abonnements de "Gaie France magazine" avant d'être assassiné.Michel Caignet: code 'ECH-5*', néo nazi, directeur de "Gai France", condamné dans le réseauToro Bravo.Magazine "Gai Pied": code 'ECH*' - de la mouvance Matzneff;Jacques Dugué, ami de Matzneff et Scherer, condamné à 30 ans de prison pour viol d'enfants. Il possédait quarante vidéos pédophiles, reconnu aussi en faire commerce avec Marc Dutroux.Jacques Delbouille: code '32', proche de Weinstein qui est membre des réseaux Dutroux et Kripten/Abrasax. Dénoncé par le Werkgroep Morkhoven, Delbouille fut arrêté pour 15m3 de matériel pédopornographique chez lui.
Polanski a photographié la nudité d'une enfant de 13 ans, avant qu'il ne la drogue et la sodomise, ce qui présume qu'il avait une de ces "collections" qualifiées de pédopornographie. Son comité de soutien comprend plusieurs personnalités mises en cause dans le réseau Coral, dont la collection de pédopornographie était vendue par le réseau de Zandvoort. Ces dossiers comportent les plus anciennes collections européennes de photos de crimes réels sur les enfants. Polanski était en France au moment du scandale Coral. Ses amis et leurs intérêts communs pourraient inciter la justice Américaine a vérifier si la victime de Polanski figure aux cédéroms de Zandvoort.
L'affaire Polanski est le cas unique d'un scandale diplomatique pour prévenir l'extradition d'un pédocriminel aux Etats-Unis, parce qu'il a choisi de jouer au chat et à la souri pendant 32 ans avec la police américaine. Roman Polanski a été le fugitif le plus célèbre du monde, glorifié par la communauté artistique, avec une Palme d'Or à Cannes, trois Oscars et sept César. Il a voulu récolter le prix du Festival du film de Zurich pour l'ensemble de son œuvre. Il a été piégé à l'aéroport, dans la mesure où l'opération a été si secrète, que le pédo protectorat n'a pas pu l'aviser du danger, comme les fois précédentes.
A l'origine, Polanski devait répondre de viol et de sodomie d'une enfant de moins de 14 ans, en lui administrant du Quaalude, un hypnotique alors utilisé illégalement comme drogue récréative. L'affaire était d'autant plus choquante qu'elle s'est passée chez Jack Nicholson en son absence, mais quand son amie, Angelica Huston était dans la maison. L'actrice avait déclaré qu'elle ne croyait pas que Polanski était un mauvais homme, mais qu'il était un homme malheureux. Polanski a eu le choix d'admettre des "relations sexuelles illégales", soit la version américaine du "détournement de mineur" européen, pour échapper à des charges beaucoup plus graves. C'était une faveur.
Polanski a été incarcéré 42 jours. A la veille du procès, le juge a dit aux avocats qu'il pensait le condamner à 48 jours de plus, donc 90 jours en tout. C'était une sentence sévère pour un détournant de mineur, mais insignifiante pour les faits réellement reprochés. Cela dépassait le prix que Polanski souhaitait payer pour son crime. Il a choisi la fuite. Le seul pays dont il ne risquait pas l'extradition était la France, qui lui avait attribué la nationalité française.
Polanski a vécu dans la gloire et la richesse. Sa victime a été persécutée par la presse, qui l'a présenté comme si elle avait consenti à se faire sodomiser à 13 ans. Polanski a réussi à la convaincre de retirer sa plainte. Elle ne veut plus en entendre parler. Elle est terrorisée par cette presse odieuse, qui la présente encore actuellement comme ayant été "séduite" par un homme, dont elle garde le souvenir d'un vieux dégoûtant.
La justice américaine répète depuis trente ans, qu'accorder l'impunité à un homme qui a drogué et violé une enfant de 13 ans serait une erreur judiciaire. La loi américaine, donc la volonté du peuple, reconnaît qu'un crime commis sur un de ses citoyens doit être traité comme s'il avait été commis sur tous ses citoyens. En sodomisant cette enfant, Polanski a sodomisé 300 millions d'américains. Il y a également en ce concept, le respect d'une victime, qui peut être menacée (comme par la presse) pour retirer une plainte, dont elle n'a pas la capacité de juger sereinement. Si une photo de la victime de Polanski devait être retrouvée dans la collection Zandvoort, le jugement ne pourrait plus lui appartenir, car il appartient aussi à 88.539 autres victimes. La Suisse a été sollicité d'appliquer ses accords d'extradition avec les USA. L'arrestation de Polanski a été suivie du traditionnel ouragan de protestations :
"L'arrestation du cinéaste Roman Polanski en Suisse est un "acte (qui) paraît inimaginable et disproportionné", selon Jack Lang, ex-ministre de la culture française qui espère "qu'une solidarité active s'organisera au cours des prochaines heures pour que la liberté soit rendue à ce grand créateur européen".
Ce réseau de solidarité a déjà épargné 340 personnalités dans l'affaire de pédophilie Coral en 1982, dont Jack Lang et un haut magistrat français identifié sur une photo avec un garçon de 11 ans, tout deux déculottés. Ce réseau de solidarité s'active à chaque scandale qui implique un pédo dandy, pour expliquer que tous les pédo dandy sont victimes de violation de leurs droits fondamentaux et tous ceux qui les exposent sont des menteurs qui cherchent de la publicité. Le dernier qui a échappé au jugement dans l'affaire Coral et qui a bénéficié d'une deuxième campagne de cet ordre est Robert Mégel, finalement condamné à 12 ans de prison, pour des crimes que la justice Française condamne normalement par 20 ans de prison.
Le Werkgroep Morkhoven, ONG qui expose les branches belges et hollandaises de cette organisation criminelle depuis 1989, a découvert en 1998, le fichier Zandvoort où la branche française est apparue la première fois. La justice belge a mis 20 ans à piéger un membre fondateur de l'ONG : Marcel Vervloesem, afin de discréditer les preuves mettant les pédo dandy en cause.
Marcel Vervloesem a été condamné pour viol, malgré les certificats médicaux assurant qu'il était physiquement incapable de survivre à ce dont il était accusé, largement dépassé le délai raisonnable et sur base d'un dossier incomplet. Le jugement spécifie que sa condamnation a été faite : "compte tenu de l'état de santé" de Marcel, soit compte tenu qu'il ne pourrait pas sortir de prison en vie, et compte tenu de sa "condition sociale". Ceci confirme que l'application de la loi varie selon la condition sociale des gens.
Marcel Vervloesem a subi cinq opérations majeures en prison, qui n'ont été autorisées que quand il était prévu qu'il ne puisse survivre plus de trois jours, mais il a survécu. Ne sachant comment le tuer, il a été incarcéré avec une veine fémorale ouverte et maintenu dans des conditions d'hygiène pour lui assurer une gangrène, mais il a survécu. Il a refusé son insuline 44 jours, dans l'espoir de mettre fin à ses souffrances, mais il a survécu. Il est un miracle vivant, selon les médecins. Mais le ministère de la justice espère toujours le tuer pour "éteindre les procédures". Il est maintenu en prison, alors qu'il est libérable pour bonne conduite depuis le 5 septembre !
Les grands experts en droit fondamental ne répondent pas aux appels à l'aide pour soulager notre "miracle vivant" de souffrances analogues à la torture. En revanche, ils font un tollé pour Polanski, dans la plus pure tradition d'inversion de rôle entre leurs victimes et leurs amis:
- "Le voir ainsi jeté en pâture pour une histoire qui n'a pas vraiment de sens et de le voir ainsi pris au piège c'est absolument épouvantable", a dit Frédéric Mitterrand, ministre français de la culture.
- "C'est un peu sinistre, cette histoire franchement", a dit Bernard Kouchner, ministre français des affaire étrangères. « Un homme d'un tel talent, reconnu dans le monde entier, reconnu surtout dans le pays qui l'arrête, tout ça n'est pas sympathique".
- "Y'a pas de viol", a dit Costa-Gavras sur Europe 1.
- "...des vices de procédure ont été reconnus," dit Alexandre Tylski, qui parle "d'humiliations publiques et médiatiques."
- "Même Kafka n'a jamais été aussi loin dans l'absurde", a dit Terry Gilliam, le réalisateur de "Brazil".
Polanski a photographié la nudité d'une enfant de 13 ans, avant qu'il ne la drogue et la sodomise, ce qui présume qu'il avait une de ces "collections" qualifiées de pédopornographie. Son comité de soutien comprend plusieurs personnalités mises en cause dans le réseau Coral, dont la collection de pédopornographie était vendue par le réseau de Zandvoort. Ces dossiers comportent les plus anciennes collections européennes de photos de crimes réels sur les enfants. Polanski était en France au moment du scandale Coral. Ses amis et leurs intérêts communs pourraient inciter la justice Américaine a vérifier si la victime de Polanski figure aux cédéroms de Zandvoort.
AVoir :
Zandvoort Réseau.
Zandvoort/Temse-Madeira Faits Divers - RTBF.
Le Grand Robert de la pédophilie Française.
Jean Pierre Rosenczveig Pédophile ?
Quand le magistrat français se déculotta pour abuser de Nordine.
Réseau pédo criminel : Jean-Pierre Rosenczveig et Vincent Eble persistent et signent !!!
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